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De WikiPedro!
- 19 octobre 2024 à 16:42 Dalles (hist | modifier) [623 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Les '''dalles''' géologiques désignent des surfaces planes constituées par des couches sédimentaires horizontales. Ces couches, souvent homogènes, forment des dalles lorsque les pentes et pendages sont faibles, comme dans certaines sections des basses terres. Exemple : Les dalles des basses terres parisiennes témoignent de la stabilité géologique de la région. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:39 Cycles de Kondratiev (hist | modifier) [643 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Les c'''ycles de Kondratieff''' sont des cycles économiques de longue durée, durant environ 50 ans, marqués par des phases d'expansion et de récession. Ils influencent indirectement les dynamiques géographiques, notamment par les changements d'infrastructure et de peuplement. Exemple : Les vagues de croissance industrielle au XIXe siècle peuvent être liées aux cycles de Kondratieff. ») Balise : Éditeur visuel créé initialement avec le titre « Cycles de Kondratieff »
- 19 octobre 2024 à 16:36 Cycle de l'érosion normale (hist | modifier) [612 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Le '''cycle de l'érosion normale''' décrit un processus continu de dégradation et d'aplanissement des reliefs sous l'effet des agents climatiques, tels que l'eau et le vent. Ce processus tend à niveler les formes géographiques au fil du temps. Exemple : Le Massif Central en France subit un cycle d'érosion normale qui aplati progressivement ses reliefs. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:36 Cuvette (hist | modifier) [558 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « La '''cuvette''' est une dépression fermée dans le relief, souvent formée par l'affaissement de terrains ou par l'érosion. Elle peut se remplir d'eau pour former des lacs ou des zones marécageuses. Exemple : La cuvette du lac Saint-Jean au Québec est formée par l'érosion des terrains environnants. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:35 Couverture sédimentaire (hist | modifier) [631 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « La '''couverture sédimentaire''' désigne l'ensemble des couches de sédiments accumulées sur des structures plus anciennes. Ces couches protègent souvent les formations sous-jacentes et influencent l'érosion et la morphologie du relief. Exemple : La couverture sédimentaire du bassin parisien est constituée de couches successives de roches déposées au fil des siècles. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:35 Corridor foncier (hist | modifier) [569 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Le '''corridor foncier''' est une ligne de talweg qui relie le massif-pôle à la périphérie en canalisant les trajectoires exorégulées. Il induit un effet de tunnel et permet le transfert des valeurs géographiques. Exemple : Le corridor foncier de la Seine relie les massifs parisiens aux périphéries rurales. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:34 Convexions (hist | modifier) [550 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Les '''convexions''' sont des reliefs en saillie, souvent formés par des forces tectoniques. Elles constituent des espaces dominés par des valeurs géomorphologiques positives. Exemple : Les reliefs convexes des montagnes alpines sont le résultat de mouvements tectoniques poussant vers le haut. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:33 Conversion figurative (hist | modifier) [560 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « La conversion figurative est un processus sémiotique par lequel une forme ou un élément naturel est interprété selon une valeur culturelle ou symbolique, dans le cadre de la géographie structurale. Exemple : Un fleuve peut être figurativement converti en frontière symbolique entre deux communautés. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:32 Contrefort (hist | modifier) [571 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Le contrefort est un relief en saillie qui soutient ou encadre une structure plus élevée, comme une chaîne de montagnes. Il est généralement formé par des processus de soulèvement tectonique. Exemple : Les contreforts des Pyrénées soutiennent les montagnes principales, en formant des plateaux inclinés. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:31 Concentration (hist | modifier) [622 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « La '''concentration''' en géographie structurale désigne le rassemblement des activités humaines ou des reliefs dans un espace limité, souvent en lien avec des trajets endorégulés. Elle est opposée à la dispersion, qui décrit une distribution plus large. Exemple : Le centre historique de Paris est une zone de forte concentration démographique et économique. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:31 Collier (hist | modifier) [573 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Un '''collier''' est une aire positive engendrée par une évasion à partir d'un massif-pôle. À l'intérieur du collier, des valeurs urbaines et rurales coexistent, mais les valeurs urbaines dominent. Exemple : Le Paris mérovingien illustre le modèle du collier, où les pôles urbains côtoyaient des zones rurales. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:30 Clivage (hist | modifier) [604 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Le '''clivage''' correspond à des fractures dans les couches géologiques, souvent liées à des forces de compression ou d'étirement. Ces fractures orientent l'évolution géomorphologique d'une région en influençant les mouvements des masses terrestres. Exemple : Les clivages dans les Alpes structurent les vallées et les massifs de la région. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:30 Charnière (hist | modifier) [586 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « La '''charnière''' désigne une ligne ou zone où se rejoignent des forces géomorphologiques opposées, positives ou négatives. Elle marque la transition entre deux types de relief, comme des chaînes de montagnes ou des bassins. Exemple : Le croisement des charnières dans le bassin parisien a produit des seuils et des vallées. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:30 Campagne (hist | modifier) [665 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « La '''campagne''' est une zone d'échelle régionale caractérisée par de faibles densités démographiques, commandées par des activités d'élevage et d'agriculture. Elle correspond à des positions de dispersion (D), en opposition aux zones plus densément peuplées telles que les villes. Exemple : Les grandes plaines agricoles de la Beauce sont une campagne typique avec une faible densité de population. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:29 Boules (hist | modifier) [578 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Les '''boules''' sont des formations géologiques sphériques ou ovoïdes qui résultent de la désagrégation concentrique de certaines roches sous l'effet de l'altération physique et chimique. Exemple : Les célèbres "boules de granit" de Ploumanac'h, en Bretagne, sont un exemple frappant de ce phénomène d'altération. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:25 Bassin (hist | modifier) [595 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Le '''bassin''' désigne une dépression géologique souvent entourée de montagnes ou de reliefs plus élevés, où les eaux se concentrent, et qui est généralement le siège de dépôts sédimentaires. Exemple : Le bassin parisien est une grande dépression où se sont accumulées des couches sédimentaires depuis des millions d'années. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:25 Banlieue sauvage (hist | modifier) [675 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « La '''banlieue sauvage''' désigne une zone périphérique non planifiée et construite de manière désordonnée, souvent caractérisée par une absence de régulation urbaine, où l'habitat est hétérogène et souvent précaire. Exemple : Les premières constructions spontanées autour de certaines grandes villes d'Afrique ou d'Amérique latine constituent des banlieues sauvages, échappant aux régulations urbaines. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:24 Banlieue pavillonnaire (hist | modifier) [620 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « La '''banlieue pavillonnaire''' est constituée principalement de maisons individuelles, souvent avec jardins, construite autour d'une ville principale. Elle se caractérise par une faible densité et une uniformité architecturale. Exemple : La banlieue pavillonnaire de Saint-Germain-en-Laye, près de Paris, est un exemple typique de ce type d'habitat résidentiel. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:23 Banlieue isomorphe (hist | modifier) [700 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Une '''banlieue isomorphe''' est une extension urbaine caractérisée par une uniformité des formes d'habitat et une absence de variation dans les structures sociales et économiques, souvent liée à des constructions pavillonnaires homogènes. Exemple : Certaines banlieues résidentielles des États-Unis, construites dans les années 1950, présentent une structure isomorphe avec des maisons identiques alignées le long de rues régulières. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:22 Banlieue d'étalement (hist | modifier) [663 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « La '''banlieue d'étalement''' se forme lorsqu'une ville s'étend de manière extensive vers ses périphéries, souvent de manière non planifiée, intégrant des zones rurales dans l'espace urbain sans densification significative. Exemple : Les banlieues d'étalement autour de Los Angeles illustrent bien ce phénomène où l'expansion urbaine a absorbé des milliers de kilomètres carrés de terres rurales. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:22 Auge (hist | modifier) [615 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « L''''auge''' désigne une vallée de forme en U, généralement façonnée par l'érosion glaciaire. Elle se caractérise par des versants raides et un fond plat, résultat du passage de glaciers qui ont creusé le relief. Exemple : La vallée glaciaire du Chamonix est une auge typique, creusée par l'érosion glaciaire lors des dernières périodes glaciaires. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:21 Arènes (hist | modifier) [571 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Les '''arènes''' sont des formations résultant de la désagrégation de roches granitiques sous l'effet de l'altération chimique, laissant derrière elles des amas de sable grossier et de fragments rocheux. Exemple : Les arènes granitiques du Massif Central en France sont un exemple d'altération chimique intense. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:20 Aporie de l'objectivisme (hist | modifier) [861 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « L'aporie de l'objectivisme réfère à un paradoxe en géographie et géomorphologie qui consiste à réduire les formes visibles de la nature à de simples objets physiques, tout en niant leur signification qualitative. Cela crée une scission entre l'analyse scientifique des forces naturelles et la perception subjective des formes géographiques. Exemple : En géographie humaine, l'aporie de l'objectivisme pourrait se manifester par l'interprétation des paysa... ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:19 Aplanissement (hist | modifier) [710 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « L''''aplanissement''' désigne un processus géomorphologique où une surface est nivelée par l'érosion ou l'altération. Il résulte d'une érosion continue qui élimine les reliefs et crée une surface relativement plane, souvent associée à la formation de pénéplaines ou de plaines d'érosion. Exemple : Les reliefs des Laurentides, qui ont été aplatis par l'érosion sur plusieurs millions d'années, offrent un exemple classique d'aplanissement. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:10 Antisujet (hist | modifier) [672 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « L''''Antisujet''' est l'actant qui entre en conflit avec le Sujet, jouant le rôle de rival ou d’obstacle dans la réalisation de la quête du Sujet. Ce conflit peut se manifester dans les luttes pour le contrôle de l’espace géographique ou des ressources. Exemple : Dans une société agraire, l'Antisujet pourrait être une communauté rivale cherchant à empêcher une autre d'acquérir de nouvelles terres. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:08 Anisotrope (espace) (hist | modifier) [783 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Un espace '''anisotrope''' est structuré de manière inégale, où certaines parties de l’espace géographique sont plus régulées que d'autres en termes de mobilité et de trajectoires. Cet espace est souvent marqué par des discontinuités qualitatives qui influencent les interactions sociales et économiques. Exemple : L'espace urbain de Paris, où certaines zones comme les quartiers centraux sont fortement régulées, tandis que les périphéries présen... ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:07 Altiplanation (hist | modifier) [573 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « L''''altiplanation''' est un processus géomorphologique qui façonne les plateaux et hautes plaines, souvent dans des climats froids, par l’érosion et l'aplanissement progressif du relief. Exemple : Les plateaux andins, formés par l'altiplanation, présentent des surfaces planes situées à des altitudes élevées. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 16:06 Altérites (hist | modifier) [684 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Les '''altérites''' renvoient aux produits d’altération géologique sur place. Ces matériaux, comme les mégablocs ou les arènes, sont issus de l’action de l’eau et des éléments climatiques sur la roche, modifiant la surface du sol. Exemple : Les formations de mégablocs granitiques dans certaines régions montagneuses résultent du processus d'altérites, où l'infiltration de l'eau désagrège lentement les roches. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 15:59 Ligne de talweg (hist | modifier) [1 398 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « === Géomorphologie === La ligne de talweg est la ligne la plus basse d'une vallée, suivant le cours naturel d’un cours d’eau. Elle représente le tracé où l’eau s’écoule le plus rapidement et où l'érosion est souvent la plus intense. Exemple : La ligne de talweg du fleuve Rhône détermine l’axe principal de drainage de la vallée. === Géographie structurale === La ligne de Talweg est un gradient morphogénétique polarisé négativement. C... ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 15:45 Ligne de crête (hist | modifier) [1 473 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « === Géomorphologie === La ligne de crête est le sommet d’un relief qui sépare deux versants ou bassins versants. Elle joue un rôle important dans la répartition des eaux et marque la frontière naturelle entre deux zones géographiques. Exemple : La ligne de crête des Pyrénées marque la frontière naturelle entre la France et l'Espagne. === Géographie structurale === La ligne de crête est un gradient morphogénétique polarisé positivement. Il s... ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 15:37 Aire positive (hist | modifier) [695 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « === Géographie structurale === L'aire positive désigne une zone de forte endorégulation, où les valeurs urbaines dominent les valeurs rurales. Ces espaces sont souvent en saillie, comme les flancs latéraux des lignes de crête, et sont marqués par un contrôle accru de la mobilité. Exemple : Les quartiers bourgeois construits sur les hauteurs d'une ville, comme le Faubourg Saint-Germain à Paris, sont situés dans une aire positive. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 15:34 Aire négative (hist | modifier) [764 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « === Géographie structurale === L'aire négative correspond à une zone géographique où les valeurs positionnelles rurales dominent celles de l'urbain. Elle est souvent associée à des surfaces en creux, comme les flancs latéraux des lignes de talwegs, et représente des zones où le contrôle politique de la mobilité est minimal. Exemple : La plaine de Saint-Denis, située dans une aire négative, est un espace où le rural a une plus grande présence que... ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 14:07 Contrôle politique de la mobilité (hist | modifier) [1 375 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « {{Définition concept|Géographie structurale=Le contrôle politique de la mobilité est un concept utilisé en géographie structurale pour expliquer la régulation des déplacements des individus dans l'espace géographique. Il distingue le nomadisme «sélectif», où les acteurs contrôlent leurs propres déplacements, du nomadisme «résiduel» et de la sédentarité, où la mobilité est régulée par d'autres. Ce concept repose sur la structuration d'espac... ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 13:52 Adjuvant (hist | modifier) [663 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « === Géographie structurale === L'adjuvant est un rôle actantiel attribué à l'élément qui aide le Sujet à accomplir sa quête en lui fournissant des compétences ou des ressources nécessaires, telles que le savoir ou le pouvoir. Exemple : Une rivière permettant à une communauté d'accéder à de nouvelles terres peut être considérée comme un Adjuvant dans leur quête d'expansion territoriale. ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 13:38 Acteur (hist | modifier) [693 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Les acteurs, contrairement aux actants, sont des individus ou des groupes sociaux concrets qui jouent divers rôles dans l'espace géographique. Plusieurs rôles actantiels peuvent être assumés par un même acteur au cours du temps. Exemple : Un groupe nomade dans un écosystème peut prendre tour à tour les rôles de Sujet et d'Adjuvant en fonction de ses interactions avec le territoire. Catégorie:Géographie structurale ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 13:34 Géographie structurale (hist | modifier) [1 309 octets] Pedro (discussion | contributions) (Page créée avec « Définition à écrier ») Balise : Éditeur visuel
- 19 octobre 2024 à 13:32 Actant (hist | modifier) [862 octets] Pedro (discussion | contributions) (Création) Balise : Éditeur visuel créé initialement avec le titre « Actans »
