« Ligne de talweg » : différence entre les versions
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La ligne de Talweg est un gradient morphogénétique polarisé négativement. Cette « strate de bifurcation » relie tous les points de l’écoumène où l’intensité du contrôle politique de la mobilité est minimale. Les [[fonctions potentielles]] de la ligne de talweg ne comprennent qu’une seule place : le rural y est seul présent. | La ligne de Talweg est un gradient morphogénétique polarisé négativement. Cette « strate de bifurcation » relie tous les points de l’écoumène où l’intensité du contrôle politique de la mobilité est minimale. Les [[fonctions potentielles]] de la ligne de talweg ne comprennent qu’une seule place : le rural y est seul présent. | ||
Les flancs latéraux de la ligne de talweg correspondent à une aire négative : une surface en creux où le rural et l’urbain sont coprésents, mais où la valeur positionnelle du premier domine la valeur positionnelle du second. Les [[fonctions potentielles]] de l’aire négative comprennent deux minima : le minimum absolu sélectionnant un état actuel rural. Sa frontière est une « strate de conflit ». | Les flancs latéraux de la ligne de talweg correspondent à une aire négative : une surface en creux où le rural et l’urbain sont coprésents, mais où la valeur positionnelle du premier domine la valeur positionnelle du second. Les [[fonctions potentielles]] de l’aire négative comprennent deux minima : le minimum absolu sélectionnant un état actuel rural. Sa frontière est une « strate de conflit ». | ||
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* Gaëtan Desmarais et Gilles Ritchot. ''Géographie structurale''. Editions L'Harmattan, 2001 | |||
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Dernière version du 21 octobre 2024 à 00:12
Géomorphologie
La ligne de talweg est la ligne la plus basse d'une vallée, suivant le cours naturel d’un cours d’eau. Elle représente le tracé où l’eau s’écoule le plus rapidement et où l'érosion est souvent la plus intense.
Exemple
La ligne de talweg du fleuve Rhône détermine l’axe principal de drainage de la vallée.
Géographie structurale
La ligne de Talweg est un gradient morphogénétique polarisé négativement. Cette « strate de bifurcation » relie tous les points de l’écoumène où l’intensité du contrôle politique de la mobilité est minimale. Les fonctions potentielles de la ligne de talweg ne comprennent qu’une seule place : le rural y est seul présent. Les flancs latéraux de la ligne de talweg correspondent à une aire négative : une surface en creux où le rural et l’urbain sont coprésents, mais où la valeur positionnelle du premier domine la valeur positionnelle du second. Les fonctions potentielles de l’aire négative comprennent deux minima : le minimum absolu sélectionnant un état actuel rural. Sa frontière est une « strate de conflit ».
Notes et références
Voir aussi
Articles connexes
Bibliographie
- Gaëtan Desmarais et Gilles Ritchot. Géographie structurale. Editions L'Harmattan, 2001